Elle aborde le milieu professionnel de la danse par une formation au Diplôme d’État de Professeur de Danse obtenu en 1996.
Après des études chorégraphiques aux Conservatoires d’Angers, Lyon et Paris enrichies d’une formation autodidacte, dont l’improvisation et le contact improvisation, auprès de pédagogues de renoms tels que Françoise et Dominique Dupuy, Jean Christophe Paré, Lulle Chourlin, Claire Fillon, Urs Stauffer, Mark Tompkins, Kristie Simson…, elle commence une carrière de danseuse-interprête.

Sandrine travaille à la fois avec compagnies internationales (notamment François Ben Aîm, la Cie Ex Nihilo, Didier Théron, Pierre Deloche, Héla Fattoumi/Éric Lamoureux au Centre Chorégraphique de Caen Basse Normandie…) et des chorégraphes plus discrets (Sophie Lamarche Damoure, Jacky Auvray, le Cie Silenda-Laura Simi/Damiano Foà…).

Elle participe également à de nombreux projets performatifs mêlant différentes spécificités artistiques (vidéo, photo, exposition muséale, arts plastiques, musique, poésie…).
En 2010 elle participe au SKITE initié par Jean-Marc Adolphe et y rencontre de nombreux artistes internationaux.
Elle est également partie prenante de plusieurs projets en direction des amateurs et des publics spécifiques.
En 2008, elle rejoint la Compagnie Shayela au sein de laquelle elle met en oeuvre des créations et aussi de nombreux projets en directions des danseurs amateurs en s’inscrivant dans les politiques territoriales de sensibilisation culturelle.
Elle y cosigne 4 créations : « Limbes« , pièce à partition olfactive ; « On Air » avec le groupe de Rock Guns of Brixton ; « Shift« , danse musique ; et signe seule « le pli du roseau« , solo dansé à partition sonore, lumière et plastique.
En 2016, suite à une blessure elle arrête sa carrière et danseuse et obtient un master de manager culturel. Aujourd’hui, elle enseigne la danse au Conservatoire de Lyon et accompagne des artistes en production/diffusion.
Depuis 2021, elle est sollicitée comme coach artistique pour le tournage de clips et renoue avec la scène pour des performances et créations plus respectueuses de l’engagement physique des danseurs interprètes.